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Les grands producteurs télé de l’époque, Jacques Martin, Philippe Bouvard, Guy Lux, l’aident à se faire connaître. Monique Lemarcis, programmatrice à RTL croit en ce nouveau talent et diffuse la première, le titre sur les ondes, le standard explose : c’est le début du succès médiatique. « Laisse-moi t’aimer » devient, ce qu’on appelle, un tube, le disque est mis en vente en février 1970. Il se vend à plus d’un million d’exemplaires. Bientôt, Mike présente son premier album longuement mûri au cours de 265 enregistrements ! La popularité naissante et explosive surprend Mike et le comble. En quelques mois, les télévisions, les interviews, les couvertures de magazines s’enchaînent. Mike fait la une. Nous sommes au début des années 1970, il a 23 ans, c’est la vie de star. On découvre le charme physique et vocal de ce jeune israëlien qui chante avec un nouvel accent. La vente de son album le propulse au sommets des hits parades avec 1 200 000 exemplaires vendus. Son bonheur d’être sur scène lui prodigue un charisme irrésistible, la foule est en délire et les fans se font de plus en plus nombreux. Mike Brant éclate littéralement aux yeux des téléspectateurs européens qui le voient chanter, le 28 octobre 1970, « Mais dans la lumière » et remporte le Grand Prix international RTL. Heureux, il passe la fin de soirée en discothèque en compagnie de Dalida. Rencontrée en 1969 au festival de la Chanson de Venise, Dalida impressionne beaucoup Mike, elle deviendra une amie. Elle lui propose même de passer en « vedette anglaise » dans son prochaine spectacle à l’Olympia de Paris. En Israël, les radios et les journaux s’emparent alors de l’enfant du pays pour ne plus le lâcher. En France, il devient le chouchou des jeunes.

mikebrantuvie

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