top of page

Le 23 novembre 1971, Dalida passe en vedette à l’Olympia de Paris, Georges Chelon en « vedette américaine » et Mike Brant en « vedette anglaise » pendant 17 jours. Certes, son nom est en tout petit sur l’affiche lumineuse rouge du music-hall du boulevard des Capucines, mais sa voix de soleil fait merveille. Il chante : « Laisse-moi t’aimer », reprend les Platters et imite son idole Jerry Lewis. Sa mère est au premier rang, heureuse. D’autant que son fils lui a acheté, avec ses premiers cachets, une maison blanche aux volets bleux à Haïfa. Jean Renard, devenu non seulement son producteur mais également son ami, trouve que c’est trop tôt et que Mike n’est pas encore prêt. Mais Mike ne veut rien entendre, il souhaite sa liberté. Et d’ailleurs cette décision sera à l’origine de leur rupture professionnelle mais elle lui vaudra aussi des critiques très violentes de la part de la Presse qui dira de lui qu’il chante « de la soupe ». Certains le traiteront même de « hors-d’oeuvre avarié »…

bottom of page