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Trente-cinq ans après sa mort
Trente-cinq ans après sa mort, il faut tout de même avouer que la musique de Mike Brant est coincée dans son époque. Personne, en 2010, n’a pris la relève, car son style est devenu obsolète. Mais les curieux peuvent retrouver un résumé assez fidèle de sa courte carrière sur le double best-of Eternel.

 Quarante-trois chansons, c’est déjà pas mal pour l’auditeur lambda, qui ne connaît généralement qu’une poignée de tubes (Qui saura, C’est ma prière, Rien qu’une larme, Dis-lui, elles sont toutes là).

 Quant à l’intégrale qui sort en même temps, c’est un bel objet certes, mais elle est à réserver aux fans absolus qui peuvent chanter C’est comme ça que je t’aime dans toutes les langues (en allemand notamment) sans se tromper. Sinon, passez votre chemin...

Mike Brant

En 1969, Moshé Michaël Brand, plus connu sous le nom de Mike Brant monte à Paris où il se produit, grâce au chanteur Carlos, au club Bistingo.

C'est là qu'il fait la rencontre du compositeur Jean Renard qui lui écrit une sublime ballade amoureuse, intitulée “Laisse-moi t'aimer”. Pendant deux mois, Mike apprendra phonétiquement la chanson en studio.

Un travail laborieux mais payant puisque “Laisse-moi t'aimer” fera un triomphe dès sa sortie et se vendra à plus d'un millions d'exemplaires.

 

 

En dehors de tout ça, Mike reste une très grande voix, un homme extraordinaire, avec un magnétisme incroyable sur les foules. Il apportait une émotion qui dure encore aujourd'hui et il continue à vendre des milliers de disques, si longtemps après sa mort.    

Mikebrantuvie

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