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Au fil des témoignages des producteurs de Mike Brant, de ses paroliers, musicien, garde du corps, de ses amis restés au pays, de sa famille et de ses nombreuses petites amies, on découvre un homme sensible et perfectionniste.

A ses débuts, dans les hôtels de Tel Aviv et de Téhéran, il enregistrait toutes ses prestations pour se corriger.

En amour, il a multiplié les aventures, rompant souvent le premier peut-être parceque Sarah, son premier amour, l’abandonna pour en épouser un autre.

Il a également beaucoup soufert des critiques des journalistes israéliens qui lui ont reproché son exil en France.
Il entretenait une relation trouble avec son pays, plus tout à fait de là-bas et pas vraiment chez lui en France.

Au détour d’un plateau de télévision, on découvre ausi un garçon plein d’humour qui imitait plutôt bien Polnareff, Ray Charles et rêvait de sortir du carcan romantique où ses producteurs le cantonnaient.

Des producteurs qui auront exploité le filon à outrance, le pressant comme un citron, le piégeant dans des contrats parfois à la limite de l’arnaque.
Il avait l’impression de n’être plus qu’une machine à sous.

 

Je ne sais jamais, si l’on s’intéresse à moi par sympathie ou par intérêt.

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Sa voix, ses chansons, son seduisant physique, sa personnalité et l’immense enthousiasme qu’il suscite sans le provoquer, lui ont permis en quatre ans de devenir une star.

L’orsque Mike Brant est photographié en studio, il parle et aime se confier, comme attiré par l’objectif et l’oeil ressurant du photographe.

En juin 1974, à Gilbert Moreau, ce jour-là, il expliqua: Depuis le debut de ma carrière, je crois sincèrement que je n’ai pas changé.

J’ai toujours été assez réservé, je parle peu et on peut prendre mon attitude pour de la froideur. La célébrité ma peut-être rendu un peu plux nerveux et anxieux au sujet de mes rapports amicaux avec les autres.

Je ne sais jamais, si l’on s’intéresse à moi par sympathie ou par intérêt.

Mike adorait manger

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Mike adorait manger, il est capable d’engloutir des quantités de nourriture qui metteraient n’importe quelle autre personne sur les genoux.
Et il ne prend pas un gramme!

Un jour, il était plus de deux heures de l’après-midi, Mike et sa « bande » n’ont pas roulé depuis plus de 25 minutes sur l’autoroute qui longe la Seine.
Mike qui n’a que son café noir dans l’estomac, est pris d’une fringale.
Il guette les bords de la route et fait ralentir, il a aperçu un restauroute Jacques Borel.

Toutes les objurgations n’y font rien, Mike a faim.

L’atmosphère clinquante, le style « drugstore », il s’en fiche.
C’est bien le diable s’ils n’ont pas son plat préféré:
une grande platée de spagettis à la tomate!

bambina

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Bambina titre rare et inédit de Mike




Une chanson en italien que Mike n’eut pas l’occasion d’interpréter en direct

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mike

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Aprés quelques dates de concerts durant l’été 1974 et sa participation à de nombreuses émissions de télé, comme Midi Trente presentée par « DANIELLE GILBERT », Sport en fête de « MICHEL DRUCKER », Domino aminé par « GUY LUX », La une est à vous presentée par « BERNARD GOLAY »….

« MIKE » sort son nouveau 45 tours « ON SE RETROUVE PAR HASARD ».
L’occasion pour lui de participer le 24 Octobre 1974 à « FRENCH CANCAN » et de croiser son meilleur ami et confrère: « C JERÖME ».

Quelques années plus tard de 1995 à 1999″C.JERÖME » qui animait « Les années tube » adorait les slows et chaque fois qu’il programmait « LAISSE-MOI T’AIMER », c’était pour lui l’occasion d’évoquer sa première rencontre avec « MIKE BRANT ». C’était en 1970, au Midem à Cannes. « MIKE » venait d’arriver en France et parlait encore un très mauvais français… C’était quelqu’un de foncièrement gentil, très chaleureux. Voilà comment « C.JERÖME » décrivait « MIKE ».

Les deux chanteurs avaient beaucoup d’humour et chaque fois qu’il se croisaient lors d’un gala ou un plateau de télévision, ils aimaient en particulier plaisanter sur leur taille… « MIKE » mesurait 1,87 m et dépassait « C.JERÖME » de vingt centimètres… Ce dernier, nullement complexé par sa taille, était toujours le premier à en rire et dans les coulisses, leurs rencontres n’engendraient jamais la mélancolie.

De 1972 à 1975 (année de décès de MIKE), les deux artistes se partageaient les premières places des hits, L’un avec « QUI SAURA », « C’EST MA PRIERE », « RIEN QU’UNE LARME »… l’autre avec « KISS ME », « HIMALAYA », « MANHATTAN »… Bien entendu, aucune rivalité entre eux… mais au contraire une immense joie de fêter ensemble leur succès.

« C.JERÖME » avait vu « MIKE » quelques jours avant sa mort et l’avait invité à passer quelques jours chez lui à la campagne. Hélas, « MIKE » n’est pas venu. C’est par la radio que « C.JERÖME » apprit la nouvelle. Ce fut un choc… « C.JERÖME » avait peu d’amis dans le Show-Biz et « MIKE » était l’un des seuls. L’année suivante, sur son album « CINDY », il lui dédiait une chanson « Hommage ».

Mike était très farceur



Lors d’une émission son producteur racontait que Mike était très farceur et qu’un jour en passant dans un village où il y avait le concours des meilleures imitations de chanteurs il s’était inscrit (malgré les protestations de son producteur qui n’en menait pas large).

Mike s’y était donc présenté un bonnet enfoncé jusqu’aux oreilles en arborant un air d’idiot du village en faisant quelques grimaces comme il savait si bien les faire. Il était monté sur l’estrade de cette manière et les gens s’esclaffaient à qui mieux mieux car ils se demandaient qui était ce « pauvre type » à l’air demeuré qui avait l’outrecuidance de vouloir imiter Mike Brant (rien que ça!) en chantant « Qui saura »…

La suite, d’après le producteur, a été phénomènale ! Quand Mike a entonné les premières mesures, même en faisant ses pires grimaces, les gens s’étaient arrêtés de rire; ils n’avaient plus envie de rire car ils étaient stupéfaits: mais qui était-il ce type qui imitait si bien Mike Brant ! Ce n’est qu’alors qu’au bout d’un certain temps que les gens, médusés, ont réalisés que c’était bien lui, le vrai Mike Brant qu’ils avaient sous leurs yeux

interview Mike Brant 1974

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Avant de chanter, que faisais-tu

Sans vouloir me vanter je crois avoir fait tous les métiers. Je ne pourrais pas tous les citer, la place manquerait certainement.

Si mes souvenirs sont exacts, mon dernier métier a été celui d’assistant de Jonaton Karmon, chorégraphe du grand Music-hall d’Israël avec qui j’ai effectué une tournée d’un an aux U.S.A. C’est d’ailleurs à cette occasion que j’ai pu m’imprégner de ce qui se faisait de mieux dans le show-business américain et qui m’a beaucoup servi par la suite.

Quelle a été ta première chance dans la chanson
Lorsque Sylvie m’a persuadé de venir chanter en France, mais surtout lorsque Jean Renard a écrit pour moi « Laisse moi t’aimer », la première chanson qui a vraiment marché !

Quel est ton meilleur souvenir
Sans aucun doute ma rencontre avec Salvador Dali. Il est, pour moi, l’artiste le plus génial de notre époque

Quel est ton plus mauvais souvenir
Lorsque, en juillet 1969 je suis venu m’installer en FRance sans connaître un traite mot de français. Pendant les sept mois qu’il a fallu pour mon « apprentissage », ça a été une véritable galère. Il est vrai que depuis je me suis parfaitement bien adapté

Quel effet cela te fait-il d’être le point de mire de plusieurs milliers de filles
En tant que garçon, il m’est difficile de ne pas en ressentir une certaine fierté ! Ceci dit, il est des moments ou c’est plutôt encombrant. Il m’arrive de plus en plus souvent, après un gala, de devoir me cacher dans les hôtels sous un faux nom ou de prendre la fuite en quatrième vitesse après un spectacle

Es-tu superstitieux
Je ne le pense pas ! Plutôt fétichiste. Je ne me sépare jamais de mon araignée de caoutchouc (dans ma voiture) et de ma « figa » brésilienne que je porte au bout d’une chaîne autour du cou

As-tu déjà été véritablement amoureux
C’est possible, mais je n’ai jamais eu la possibilité de m’en rendre compte. J’ai toujours été fidèle… à la devise de Napoléon : En amour, la plus grande victoire, c’est la fuite

La beauté est-elle la première chose que tu regardes chez une fille
Pas nécessairement.

Que penses-tu du mariage
A priori je n’ai rien contre. Il y a des gens à qui le mariage a réussi, d’autres pas ! Le mieux, bien sûr, étant de faire sa propre expérience. En ce qui me concerne le moment n’est pas encore venu. Je ne suis pas pressé. D’ailleurs les célibataires endurcis sont souvent les plus parfaits époux

Es tu ce qu’on appelle un dragueur
Je n’aime pas le terme « dragueur ». Je préfère celui d’amoureux perpétuel. Chaque fille que je rencontre est pour moi une nouvelle source d’émotion, de sentiments… et, bien entendu, de problèmes intérieurs

Quel est ton genre de fille
Je ne crois pas avoir un « type » déterminé. J’aime toutes les filles et je désire en connaître le maximum avant de me laisser passer la corde au cou

L’Étoile filante

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La machine Mike Brant se met réellement en marche. De 1970 à 1975, les tubes vont s’enchaîner à la vitesse grand V, en quatorze tubes : Laisse-moi t’aimer, Un grand bonheur, Mais dans la lumière (qui obtient le 1er Grand Prix International RTL 1970), Nous irons à Sligo, À corps perdu, La fille à aimer, Qui saura, C’est ma prière, Rien qu’une larme, Tout donné tout repris, Viens ce soir, C’est comme ça que je t’aime, On se retrouve par hasard, Qui pourra te dire.

Sylvie Vartan

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En avril 1969, Sylvie Vartan arrive à Téhéran pour une tournée, accompagnée de son fidèle secrétaire Carlos. Elle tombe aussitôt sous le charme de cette voix puissante et du charisme du bel Israélien. Elle ne résiste pas et souhaite le présenter de toute urgence à son producteur Jean Renard. Sylvie lui laisse alors son numéro de téléphone pour le cas où il voudrait tenter sa chance en France.

Suivant ses conseils à la lettre, Mike tente le pari et se retrouve à Paname en juin. Après quelques semaines d’errance, il n’arrive pas à joindre Sylvie partie en tournée. Avec ses derniers dollars en poche, il appelle Carlos de l’aéroport juste avant de repartir. Mais le destin change le cours de l’histoire : Carlos décroche.

Il accepte de l’héberger chez lui et propose une audition chez son producteur. Devant le piano, Mike lance son fameux Summertime devant Jean Renard et Jean-Claude Vannier. Aussitôt, Renard signe pour cinq ans avec Mike. Il lui façonne son look, et change son nom : Brand devient Brant.

Gérard Tournier (devenu le producteur de Mike, se rappelle : « J’avais dit à Jean, si un jour tu trouves un gars avec une voix exceptionnelle, tu m’appelles ». La promesse fut tenue. C’est ainsi que Moshé Brand devint Mike Brant.

Ses tendres années

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Chaque soir, il débute son tour de chant d’une demi-heure par Summertime (de Gershwin), et enchaîne pour son plus grand plaisir tous les tubes du moment : Strangers in the night de Sinatra, Yesterday des Beatles, Only you des Platters, Aretha Franklin, Tom Jones, Elvis… Son répertoire est très vaste : il connaît plus de 300 chansons par cœur.

Tel un véritable juke-box vivant, Mike chante en hébreu, anglais, français et même en italien : A chi (qu’Elvis reprendra en 1976 sous le titre de Hurt) Cuore di Bambina, ou Ciao amore de Luigi Tenco, que Dalida mit à son répertoire après le suicide de Tenco, à l’époque son amoureux. Mike enregistrera plus tard dans cette langue son tube Laisse-moi t’aimer et même en allemand.

Programmé à Broadway, c’est au pays de la « Grosse pomme » qu’il apprend le métier, surtout en regardant les shows télévisés. Son contrat rempli, il quitte le Grand Music-Hall d’Israël, et se fait engager pour cinq mois dans un night-club de Téhéran, le Baccara. Une rencontre inattendue va cependant bousculer son destin.

Entre 14 et 16 ans

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Entre 14 et 16 ans, il suit des cours d’art dramatique au théâtre d’Haïfa (Le Beit Rothschild), pendant que son frère, accordéoniste, monte un petit orchestre amateur avec des copains qu’il surnomme Les Sky Master. Moshé ne se fait pas prier pour intégrer le groupe. Ils se produisent au Rondo (night-club de l’hôtel Dan Carmel à Haïfa) et partout en Israël, écumant les bals de leurs tango, rumba, valse ou paso-doble. Le groupe se rebaptise Les Chocolates. Il excelle désormais devant un public international à l’hôtel Hilton de Tel-Aviv, depuis qu’ils ont signé un contrat pour deux années de représentations.

Le succès est fulgurant, surtout devant la gente féminine qui ne reste pas insensible à la voix du crooner. Moshé, que l’on surnomme déjà Mike ou Mikaël, est ensuite repéré en décembre 1967 par le chorégraphe du grand music-hall d’Israël Jonathan Karmon. Frappé par l’impact qu’il possède auprès du public et surtout des jeunes filles, il lui propose de rejoindre sa troupe de soixante artistes. En effet, Karmon cherche un chanteur remplaçant pour partir en tournée d’un an à travers les USA et l’Afrique du Sud. Mike chante des airs folkloriques en duo avec la chanteuse Michal Tal sous le nom de Yon et Yonit. Mais voyant le succès de son jeune protégé, Karmon lui offre la possibilité de chanter en solo. Mike trouve un pseudonyme plus américain et devient Mikaël Sela.

Ses influences musicales

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Ses influences musicales  

Il se passionne rapidement pour les chanteurs américains de cette époque dont il apprend phonétiquement les tubes par cœur : Frank Sinatra, Dean Martin, et surtout Elvis Presley son idole. Comédien né, il amuse la galerie par ses imitations de Jerry Lewis, son acteur favori. Il fait le pitre en classe au grand désespoir de son professeur, et déclare à qui veut l’entendre qu’il sera acteur et chanteur

mikebrantuvie

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La famille BRAND l’ors de leur imigration à HAIFA devant leur petit appartement de style arabe pas trés loin du port au 9 rue KIBBOUTZ-GALUYOT.





Cette chanson a eté enregistré le 15 Avril 1975 dix jours avant que Mike Brant nous ait quités.
Il l’avait enregistré dans l’espoir d’un nouveau départ. Malheureusement Mike na jamais eu le temps de la chanter en public.
Dix jours plus tard le 25 Avril 1975 Mike decidait de nous quiter pour toujours. Même aujourd’hui 32ans aprés, son étoile continue toujours de briller dans le firmament des stars. Sa voix sublime ne c’est jamais eteinte.
Mike tu seras à tout jamais dans nos coeurs.

Le 5 Mai 1975 le 45 tours de « Dis-lui » sort en France et il connait un tel succés qu’il se vendra à plus de deux millions d’exemplaires.

mike

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compositeur et parolier de Mike Brant
Le compositeur deviendra son producteur et signera paroles et musiques le premier succès de l’artiste : Laisse-moi t’aimer, en 1970.

La même année, Mike chante Parce que je t’aime plus que moi, Mais dans la lumière, Un grand bonheur et l’année suivante À corps perdu, Fécità et Nous irons à Sligo. Il chantera encore Au pays de ma maison (1972).

interwien par Claude François. 1977

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interwien par Claude François. 1977  

C’est vrai nous étions très proches tous deux du fait de nos «origines» orientales bien que lui soit d’Israël et moi d’ Egypte. J’admirais son talent et je regrette sa disparution trop précoce, j’aurais tellement voulu faire une émission avec lui.

D’ailleurs il a repris une de mes chansons qu’on aurait pu chanter en duo: My Way.
Je pense que son ascension très rapide dans le showbusiness l’a beaucoup affecté, il n’était pas prêt pour cela car toutes ses chansons ont été premières au hit parade,

Il était donc très demandé c’est pourquoi la pression a augmenté au fil des jours et cela l’a mené au désespoir et à l’angoisse de la réussite, il n’a pas supporté. Cela explique sûrement son geste…
Mike nous manque beaucoup car il était entier et sincère, il a su rester le même du début à la fin malgrè sa notoriété.

Mike fait gagner un million à une admiratrice.

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Vous avez tous sûrement entendu sur les antennes de Europe 1, l’émission «Le Micro d’or» animée par Hubert. Cette émission était en fait un concours promotionnel pour tous les chanteurs au succès grandissant.

Les auditeurs devaient envoyer sur carte postale le nom du chanteur préféré. A la fin de chaque émission, le vedette la plus demandée gagnait 1 carat, celui qui parvenait à totaliser 18 carat se voyait décerner le «Micro d’or». Et bien sur, parmi tous ceux qui avaient désigné le nom du vainqueur, un nom devait être tiré au sort et gagner… 10 000 F (1 millions d’anciens francs!).
Et bien, c’est cette aventure merveilleuse qui vient d’arriver à une jeune admiratrice, Catherine! Pour avoir désigné Mike Brant (le grand vainqueur du Micro d’or) sur une simple petite carte postale, Catherine vient de gagner 10 000 F.

Une petite lycéenne genevoise
Il y a seulement quelques temps, Catherine ne s’attendait pas du tout à vivre un tel conte de fée. Cette lycéenne à St Julien en Genevois, elle écoutait tous les soirs l’émission de Hubert. Son idole était Mike Brant et sans hésiter, elle décida de voter pour lui.
Une simple petite carte postale représentant la montagne de son pays, le nom de Mike Brant, l’adresse d’Europe 1.
Elle n’y croyait pas trop mais attendait impatiemment chaque soir les résultats du Micro d’or. Quelle ne fut pas sa joie d’apprendre qu’effectivement Mike était le grand vainqueur du Micro d’or! Mais encore fallait-il que sa carte soit tirée au sort!

Choisie par Mike lui-même
C’est Mike lui-même qui au cours d’un de ses galas devait tirer le nom du vainqueur au sort. Parmi toutes les cartes postales où était mentionné son nom, il choisit juste celle de Catherine!

Un million des mains de Mike
Et c’est au cours du bal du 14 juillet à la Défense, animé par Europe 1 que Catherine a rencontré celui qu’elle admirait depuis longtemps, Mike Brant! Ce fut pour elle une nuit inoubliable. Après avoir reçu devant des milliers de personnes le Micro d’or des mains de Hubert, Mike remettait à Catherine, radieuse, son chèque de 10 000 F!
Très émue, Catherine croyait vivre un rêve. Bien sûr, elle ne sait pas encore très bien ce qu’elle va faire de son argent. Mais de toute façon, voilà des merveilleuses vacances en perspective. Et Catherine a décidé de conserver toute sa vie, la carte postale qui lui a porté bonheur.

Palais d’hiver de Lyon, le 2 février 1973

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Le lendemain d’un concert historique, au Palais d’hiver de Lyon, le 2 février 1973, Mike est à Marseille, à la salle Vallier, devant plus de 5000 personnes !
Une jeune fan en furie escalade la scène et le mord en plein spectacle !

Tout retourné, Mike dira à un journaliste : <>.
Il faut dire que pendant son spectacle, ces dernières l’ont couvert de fleurs, de ballons, de mouchoirs, de petits mots d’amour, de peluches et même de soutien-gorge

10 000 km pour rejoindre Shirley

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Dès la fin de l’enregistrement de son dernier disque, au mois de mars, Mike partait en vacances aux Bahamas ! En dehors du soleil, des plages et de la mer bleue, autre chose l’attirait là-bas : une très jolie Américaine, Shirley qu’il avait beaucoup aimée alors qu’il habitait New York et qui venait justement de lui écrire. Mike gardait un souvenir merveilleux de Shirley et n’avait pas hésité une seconde à faire 10 000 km pour passer quelques jours de bonheur avec elle ! Et bien sûr, comme il le désirait, Shirley fut pendant tout le séjour, tendre et amoureuse comme avant… Elle ne voulait plus quitter Mike ! Mais celui-ci dut partir en France, appelé par ses obligations professionnelles.

Mike n’est pas un Don Juan

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Mike n’est pas un Don Juan  
Mike Brant a vraiment tout pour plaire aux filles.
Aucune ne peut résister à son sourire, à sa voix prenante, à son charme.
Il collectionne les succès et on le voit rarement avec la même fille.

Pourtant, Mike n’est pas un Don Juan, cynique et insensible. Il a tout simplement le cœur chaud. Chaque nouveau joli visage, chaque belle chevelure flottant au vent, le rend à chaque fois follement amoureux !

Dès qu’il rencontre une fille qui lui plait, il ne recule devant rien pour la conquérir. Rien ne peut l’arrêter, même pas bien sûr sa petite amie du moment! L’aventure qui vient de lui arriver en est encore une fois la

 

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